BIPHOTONEWS EXCLUSIVE * PHOTOGRAPHY*BIPHArt * ADS * ART DECO SAINT-TROPEZ - BIPHOTO STUDIO BUDAPEST

*Photography since 2006* on the other side of the camera * My creations reflect traces of my photos and imagination, some using artificial intelligence, digital art, acrylic, canvas, paper (mixed media)* @ilonabarnabiphotonews
Bejegyzések relevancia szerint rendezve a(z) "Club 55" lekérdezésre. Rendezés dátum szerint Az összes bejegyzés megjelenítése
Bejegyzések relevancia szerint rendezve a(z) "Club 55" lekérdezésre. Rendezés dátum szerint Az összes bejegyzés megjelenítése

2019. február 24., vasárnap

©Le Club 55 Golf du Saint Tropez, France "Prince Paysan" ...

Marc Tempier 2019 01 24 Le Club 55 © BIPHOTO -7352.jpg
Un ‘‘Prince paysan’’ à Pampelonne
Un Prince qui s’appelle Patrice…
Tout a commencé en 1947, lorsque le père de Patrice, Bernard de Colmont (qui fut le premier occidental à entrer en contact avec les Indiens Lacandons en 1935), tourne pour gagner un peu d’argent un documentaire à bord d'un pailebot, un bateau à voiles majorquin qui assure le transport des oranges en Méditerranée. Une tempête de mistral les oblige à s'abriter dans la baie de Pampelonne. Bernard, subjugué par la beauté des lieux qui étaient à l’époque déserts, décide de revenir avec sa famille. « N’est-ce pas l’endroit idéal ? » rétorque-t-il à ses amis du Club des Explorateurs avec lesquels il a voyagé dans le monde entier. « Il n’y a pas d'araignées, ni de serpents mortels, pas de requins, ni de lions, pas de choléra, ni de tsunami… et nous sommes en France, dans une démocratie. »
Après avoir occupé pendant plusieurs étés une cabane de pêcheurs sur la plage de Bonne terrasse, Bernard acquiert en 1954 deux parcelles de terrain au bord de la mer, à l'endroit où les Américains, sous les ordres du Général Patch, ont débarqué pour libérer la France. Sa femme Geneviève est furieuse que son mari qui vient de toucher un petit héritage ait acheté un bout de plage remplie de mines laissées par la guerre alors qu’elle n'a pas de quoi offrir des pull-overs neufs à leurs garçons de 9 et 6 ans. Mais elle aime son homme alors ils quittent la Haute-Savoie et s'installent pour vivre à l'année, sans eau, ni électricité, sous des tentes puis dans trois cabanes en bois que Bernard a dessinées et fabriquées.
Dès les beaux jours, leurs amis pique-niquent au cabanon. Très rapidement, Geneviève leur propose de s'occuper de l'intendance des repas. Un jour de 1955, l'équipe du film de Et Dieu créa la femme avec Brigitte Bardot, qui n'a que 19 ans et n'est pas encore une star, croit qu'il s'agit d'un restaurant et demande à Geneviève si elle peut leur faire la cuisine pour 80 personnes pendant trois semaines. Ça l'amuse terriblement. Elle aime les gens de talent. Pour preuve, elle voulait devenir aviateur, ses parents n'étant pas d'accord, elle a réussi à travailler (bénévolement) pour l'explorateur Paul-Émil Victor. Alors elle dit oui. Elle n’a pas de four. Peu importe ! Elle fait cuire les rôtis dans celui du boulanger. Le film terminé, Roger Vadim et Brigitte Bardot reviennent. Et amènent leurs amis, réalisateurs, comédiens, écrivains, chanteurs, tous les artistes de Saint-Germain-des-Près qui font le Saint-Tropez des années 50. Geneviève, issue de la grande bourgeoisie, n'est pas impressionnée. Le soir, on dîne, on danse, c’est l’endroit où il faut être. Mais tout le monde n’est pas admis. Le Club 55 est né.

Pendant ce temps, Patrice grandit dans, sur et sous l'eau. À 8 ans, son père l'émancipe de façon complice : « À ton âge, les jeunes Lacandons apprennent à fabriquer leurs arcs et flèches pour se nourrir, et bien, toi, fais la même chose ! » Après l'école, Patrice part sur sa ‘’cocotte’’, un joli petit dériveur en acajou, pêcher et dormir derrière le Cap Camarat à l'endroit où la Méditerranée est si transparente que les pierres sont bleues. À 15 ans, Patrice a un rêve : devenir paysan et châtelain comme son cousin de Montfort l'Amaury chez qui il travaille plutôt que d’aller au lycée, aucun prof ne pouvant remplacer le savoir de son père qui lui a tout appris. Mais la vie en décide autrement. Lorsque Patrice a 17 ans, Bernard est obligé de vendre l’une des deux parcelles afin de réunir l’argent nécessaire pour construire une « vraie » maison en pierres (qui est aujourd’hui celle sur laquelle le restaurant est adossé). Patrice ne supporte pas cette injustice. Pourquoi son père si brillant n’a pas les moyens de garder le lieu qu’il aime le plus au monde ? Le lieu de son enfance. Furieux, il part travailler à Paris. Mais sa mère atteinte d’un cancer décède. Son père ne s’en remet pas et tombe à son tour malade. Avant de mourir, il demande à Patrice de revenir. Patrice qui a alors 24 ans reprend avec son frère aîné Jean et leur jeune sœur Véronique le Club 55. Et l’ouvre sur l’extérieur, en restant cependant vigilant sur l’attitude des nouveaux clients qui, pour seul parrainage, doivent émettre des ondes positives.
Patrice tient à garder le même état d’esprit que celui de ses parents, c’est à dire un endroit où rien ne bouge, ni ne change, avec la même cuisine authentique et familiale que celle de sa mère, ratatouille, poisson sauvage grillé amené chaque matin par les pêcheurs locaux, feuilleté de Ramatuelle, et les mêmes principes : Ici le client n’est pas le roi… parce qu’il est un ami et La cuisine n’est pas faite par le patron.
Très rapidement, le Club devient cosmopolite et le rendez-vous incontournable des rois, des stars, des hommes d’affaires ou d’état en vacances, mais aussi celui de Jack Nicholson, de Sylvester Stallone, de Bono, de Naomi Campbell, de Kate Moss, de Sarah Ferguson pour ne citer qu’eux. Ici, pas de paparazzi, juste un photographe attitré qui ne vend ses photos qu’aux personnes qui sont représentées dessus ! Patrice crée le mouvement et donne le rythme aux employés, impressionnante chorégraphie rodée au centimètre près afin que personne n’attende et soit accueilli comme à la maison. C’est ce qui fait le charme du Club 55 dont Patrice devient le Prince. Un Prince humble qui n’oublie jamais de s’amuser : un jour où deux clients font un pari sur la rapidité de leurs voiliers respectifs, d’emblée, il créée (en se souvenant de sa petite ‘’cocotte’’) une course de bateaux, la Nioulargue, qui devient le must des courses de Méditerranée.
Quelques années plus tard, Jean vend ses parts à Patrice. Le restaurant s’organise désormais pour servir des quantités importantes de repas. Quand on demande à Patrice combien exactement ? Il répond en souriant qu’ils sont dans du déraisonnable ! (en réalité jusqu’à 1000 couverts par jour). Puis il ajoute (toujours en souriant) que l’idée n’est pas de battre des records, mais de faire plaisir à toutes les personnes qui veulent venir déjeuner, comme avec les amis qui s’invitent et qui sont plus nombreux que prévus, on ne les met pas dehors, on se débrouille pour les asseoir et les nourrir.
Patrice construit le mobilier avec le bois flotté qui s’est échoué sur le sable après les tempêtes, et pose sur les tables des nappes bleues, douces et délavées (dans la même tonalité que les matelas de la plage), ainsi que des fleurs... bleues… Plus les matières ont vécu, plus elles respirent la joie de son passé de jeune garçon libre et aventurier, et lui indiquent qu’il peut continuer de vivre dans la mémoire de ses parents sans angoisse puisque rien n’a changé, plus Patrice est heureux. Il investit toute son énergie, sa passion, son temps, son amour des relations humaines dans le Club 55 qui ne désemplit pas et reste ouvert pratiquement toute l’année, excepté les trois mois d’hiver. Patrice est chaque jour au cœur de son restaurant. Il est le cœur du Club 55. Tout le monde l’appelle Patrice. L’embrasse. Lui serre la main. Lui explique sa dernière folie ou son divorce. Il se souvient de tout et de tous. Rit. Blague. Tout en apportant une chaise supplémentaire ou en servant une tarte tropézienne, il raconte le Bailli Pierre-André de Suffren ou le voyage de noces de ses parents qui ont descendu en kayak les fleuves Green et Colorado. Il lui arrive aussi parfois de se mettre en colère et de demander aux indélicats de ne plus revenir. L’endroit devient mythique. On se sent unique et privilégié d’avoir la possibilité d’y déjeuner. C’est le seul lieu où les clients remercient le patron en partant.
En 1993, il rachète enfin la parcelle que son père avait été obligé de vendre et construit des cabanons pour que les habitués puissent séjourner de façon aussi authentique que lui, enfant, sur la plage. Mais malgré sa réussite, son rêve de devenir paysan et châtelain ne le quitte pas. Il cherche des fermes dont les terres seraient intactes et n’auraient jamais été en contact avec les pesticides et autres semences modifiées. Partout. Même dans les Alpes de Haute-Provence. Jusqu’au jour où une famille lui propose d’acheter la ferme de leurs parents. Ils ne veulent la céder qu’à Patrice de Colmont car ils savent qu’avec lui, celle-ci ne changera jamais. Son rêve se réalise enfin, et dans des conditions idéales, la ferme des Bouis est située à cinq minutes du Club 55. Il y installe des chevaux, des ânes, des chèvres, des chiens, qui peuvent contempler, au travers des oliviers, le Cap Camarat, derrière lequel se trouvent ses belles pierres bleues. 
Aux Bouis, il fait pousser un potager, des olives et des vignes, fait son vin, son huile et livre le Club 55 en légumes et fruits évidemment bios, toujours dans sa philosophie de faire le plus naturel possible : « Moins on s’éloigne de la nature, moins on se trompe » ajoute-t-il en vous fixant de ses yeux verts. Sur le menu, le label « bio » n’est mentionné nulle part. Patrice préfère éduquer en laissant à chacun la possibilité de découvrir et d’apprécier. En effet, ses clients séduits par la qualité et le goût délicieux des tomates ou radis de ses fameux paniers de crudités l’assaillent de questions. Alors, Patrice prend une grande inspiration et raconte le maraîchage sans tracteur mais avec des chevaux de trait, les semences reproductibles, le danger des OGM, la permaculture, le composte, la résilience écologique, l’influence de la lune, la vision holistique. Il est intarissable. L’idée de Patrice est de sensibiliser ses clients dont certains, financiers ou industriels, sont de gros acteurs de la pollution mondiale, à l’agroécologie, non pas en leur donnant des leçons, mais en leur montrant, par son expérience réussie de prince paysan, que c’est possible. Qu’il est possible de respecter la terre et l’humain. Alors pourquoi ne pas essayer ? les questionnent en silence ses yeux verts.
Son éthique prend une dimension supplémentaire lorsqu’il découvre en 2011 les mots du paysan écrivain philosophe Pierre Rabhi (dont l'actrice Marion Cotillard est proche) : « Il est temps de prendre conscience de notre inconscience. » « Enfin un homme qui pense comme moi ! » se dit Patrice en dévorant ses livres. Désireux de le rencontrer, il l’invite à donner une conférence sur sa plage. Trois jours plus tard, Pierre téléphone à Patrice : « Je sais que je suis capable de résoudre le problème de la faim dans le monde par l’agroécologie. J’aimerais que tu me rejoignes. » Depuis les deux hommes ont créé ensemble le Fonds de dotation Pierre Rabhi. Et Patrice lui a fait rencontrer Léonardo di Caprio. « Pierre, que pensez-vous des OGM ? » lui demande celui-ci. « C’est un crime contre l’humanité », répond Rabhi. « Alors nous allons pouvoir continuer notre conversation parce que je suis d’accord avec vous. » Une réflexion est en cours afin que les trois hommes avancent ensemble.
En mai 2015, Patrice, qui a toujours prôné la patience et la sagesse, concrétise le plus excitant de ses rêves : l’acquisition du Château de la Mole (où a grandi Antoine de Saint-Exupéry, l’auteur du Petit Prince). Le projet est de faire de cette demeure historique une « villa Médicis » de l’agroécologie pour susciter des rencontres et transmettre le savoir, ainsi qu’une ferme comme au XVIIIème siècle, dans le souci d’un écosystème naturel qui préserve la biodiversité.
Au printemps 2016, le potager est planté et trois mois plus tard, les premiers légumes fournissent le Club 55. En quantité impressionnante ! Qui a dit que le bio n’était pas rentable ? 
À 20 heures, chaque soir, après douze heures de travail intenses, Patrice ferme la porte de son Club 55 et charge dans le coffre de sa voiture une centaine de kilos d’épluchures qu’il apporte à sa ferme des Bouis pour nourrir ses ânes et ses chevaux. Si on lui demande pourquoi il le fait lui-même, il répond d’un air étonné, presque amusé : « À quoi bon avoir des animaux si ce n’est pas pour les nourrir ? » Puis serein, il rejoint à une quinzaine de kilomètres de là son château de la Mole où l’attend le petit Prince qui, la nuit, l’inspire et lui souffle de…, mais chut, c’est leur secret. Un secret de Princes naturalistes prêts à toutes les bontés pour sauver l’humanité. (forrás)

2021. június 4., péntek

©JEAN DE COLMONT SAINT TROPEZ, FRANCE

 

Saint Tropez Says Goodbye to Jean de Colmont

A resident in St Tropez since he was a boy & founder of Club 55

He was just ten years old when his father authorized the shooting of a film on the small beach which he had bought in Ramatuelle. This was in 1955 and the film was non other than 'And God Created Woman' with Brigitte Bardot. (forrás!)


Jean de Colmont, fondateur du Club 55 et des Caves du Roy à Saint-Tropez, est décédé

Saint-Tropez a dit adieu à l'une de ses grandes figures. Mort des suites d'une crise cardiaque, Jean de Colmont, ancien patron du Club 55, lieu mythique des nuits tropéziennes, a eu droit à d'émouvantes obsèques hier matin, mardi 26 mai, au cours desquelles son petit village varois et ses fidèles proches et amis lui ont dit adieu.

Une fois n'est pas coutume, Saint-Tropez n'avait pas le coeur à la fête. Car c'est toujours sous le choc de sa disparition brutale que la ville portuaire a dû dire adieu à Jean de Colmont hier. Comme le raconte Var-Matin, c'est son frère Patrice - patron du Club 55 avec sa soeur Véronique désormais - qui a accueilli, tout de blanc vêtu, les dizaines de proches et amis - dont l'ex-patron de la Fédération française de tennis Christian Bîmes - sur le parvis de l'église paroissiale, avant une cérémonie au colombarium - le corps de Jean de Colmont avait été incinéré après la cérémonie religieuse - du cimetière marin de Saint-Tropez à 16h30, pour l'inhumation de son "prince" de la nuit et du fondateur des Caves du Roy. C'est d'ailleurs au sein du Byblos, qui fût sa "maison" pendant plus de 20 ans, que ses amis lui ont rendu un dernier hommage dans la soirée.

 

2021. április 7., szerda

© 2021. ÉV SZEZON ELŐTT SAINT TROPEZ PAMPELONNE TENGERPARTJÁN...

 Saint Tropez, France Pampelonne Plage 

2021 

avant la sezon

#ilonabarnabiphotonews©Saint Tropez, France Pampelonne Plage 2021 avant sezon ... készülődés a 2021. évi nyárra ...

#ilonabarnabiphotonews©Saint Tropez, France Pampelonne Plage 2021 avant sezon ... készülődés a 2021. évi nyárra ...

#ilonabarnabiphotonews©Saint Tropez, France Pampelonne Plage 2021 avant sezon ... készülődés a 2021. évi nyárra ...



#ilonabarnabiphotonews©Saint Tropez, France Pampelonne Plage 2021 avant sezon ... készülődés a 2021. évi nyárra ...

#ilonabarnabiphotonews©Saint Tropez, France Pampelonne Plage 2021 avant sezon ... készülődés a 2021. évi nyárra ...

#ilonabarnabiphotonews©Saint Tropez, France Pampelonne Plage 2021 avant sezon ... készülődés a 2021. évi nyárra ...



p.s... 2019. év szezon előtt történt, amikor egy éjszaka alatt reggelre virradva eltűntek a tengerparti régi provence éttermek Saint Tropez, France (Ramatuelle) cca. 10 km hosszan közvetlenül a tenger mellett... felejthetetlen látvány tárult elém, amikor kimentem futni reggel, ami megrázó volt és felejthetetlen... a látvány ami elém tárult olyan volt, mintha egy tornádó futott volna át a homokos Pampelonne tengerpartján... csak álltam és nem akartam hinni a szememnek... nem voltam ezzel egyedül, többen álltunk ledöbbenten... a változás, a buldózereknek és emberi elmének köszönhetően már akkor elkezdődött... talán nem igazán érted, hogy miért éreztem ezt, hát tudod 35 év szép emlékeim fűződtek ezekhez a helyekhez, azóta törültem a kötődést a tárgyakhoz is... ettől az évtől, minden szezon előtt újraépítik a strandokat... lerakják a dobozokat, az egyikben a kész konyha, másikban az étterem vagy mellékhelyiségei találhatóak... majd a szezon végén, amikor már nincs szükség ezekre szétszedik és elszállítják... a Club 55, Moorea, Tahiti megőrizte régi hangulatát külső látványra, habár semmi nem lesz olyan, mint régen, az akkori tulajdonosok hiányoznak és felejthetetlenek... amiért ezt most itt megjegyeztem, többek között azért,  mert Te is láthatod ez a dobozos nagyüzemi nem igazán provence stílus remeke... a másik..., hogy 2021. évben is várják a nyarat errefelé(is!)... #seawood ...



" 1955-ben egy napon az Et Dieu Created Woman című film stábja Brigitte Bardot-val, aki csak 19 éves, volt és még nem volt sztár... úgy gondolták, hogy ez  a tengerparti étterem megfelelő lenne a film forgátásához és megkérdezte Geneviève-t, hogy 80 fő részére elvállalná-e az étkeztetést... nem volt sütője, praktikus konyhája, de elvállalta... A film elkészült, Roger Vadim és Brigitte Bardot utána elhozták barátaikat, rendezőket, színészeket, írókat, énekeseket, Saint-Germain-des-Près összes művészét, akik az 50-es évek Saint-Tropez-jét alkották és híressé tették ezt a helyet... így született meg a " Le Club 55 " ... 


"Dès les beaux jours, leurs amis pique-niquent au cabanon. Très rapidement, Geneviève leur propose de s'occuper de l'intendance des repas. Un jour de 1955, l'équipe du film de Et Dieu créa la femme avec Brigitte Bardot, qui n'a que 19 ans et n'est pas encore une star, croit qu'il s'agit d'un restaurant et demande à Geneviève si elle peut leur faire la cuisine pour 80 personnes pendant trois semaines. Ça l'amuse terriblement. Elle aime les gens de talent. Pour preuve, elle voulait devenir aviateur, ses parents n'étant pas d'accord, elle a réussi à travailler (bénévolement) pour l'explorateur Paul-Émil Victor. Alors elle dit oui. Elle n’a pas de four. Peu importe ! Elle fait cuire les rôtis dans celui du boulanger. Le film terminé, Roger Vadim et Brigitte Bardot reviennent. Et amènent leurs amis, réalisateurs, comédiens, écrivains, chanteurs, tous les artistes de Saint-Germain-des-Près qui font le Saint-Tropez des années 50. Geneviève, issue de la grande bourgeoisie, n'est pas impressionnée. Le soir, on dîne, on danse, c’est l’endroit où il faut être. Mais tout le monde n’est pas admis. Le Club 55 est né." (forrás!)

Welcome / Dobrodosli / Üdv / Bienvenue

#ilonabarnabiphotonews

(a linkekre feltétlen egy kattintást, több infó!)

2016. április 9., szombat

©Le Club 55 Plage Saint-Tropez

... ezen a plage-n mindig találkozol hírességekkel, érdemes nemcsak a gourmet konyhája miatt betekinteni ...


Michel Neugarten Form1 & the best friend Le Club 55 Plage Saint-Tropez by BIPHOTO

Jürgen (Le Club 55 Saint-Tropez) by BIPHOTO














2020. április 23., csütörtök

©40. NAP - PORT DE SAINT TROPEZ - MIKOR AZT HISZED, HOGY MINDEN NAPOD KÜLÖNLEGES LESZ, AMIKOR CSAK TE AKAROD...




...  amikor azt gondolod, hogy bizonyos dolgok, tárgyak, helyek állandóan ottmaradnak, ahol vannak hosszú, hosszú évek óta mozdulatlanul...  akkor most megsúgom neked, hogy nagyot tévedsz ebben... megtanultam az évek alatt, ha előttem volt a pillanat azonnal lefagyasztottam, mert abban biztos voltam, hogy többet nem fogom látni pontosan abban a formában... de azt még én sem gondoltam, hogy a kedvenc tengerpart melletti éttermeim, bárjaim, napozó helyeim egy 24 h alatt köddé váltak... a mostani #maradjotthon életformáról nem is beszélve.., de ez majd talán egy másik fehér lapot foglal majd el... a 39. nap kemény energiákat bocsájtott ki, úgy tapasztaltam nemcsak nekem... a 40. nap azt gondolom, hogy az élet megy tovább... annyi minden történt már velem volt közötte ilyen is... olyan is... mától, nincs több időm, csak az olyanra...
... '90-es évek Moorea Plage Saint Tropez, Claudy a bárjának koktéljaival ebéd előtt jó kedvre derítette a társaságot... Gypsi Kings énekelt az asztalod mellett és Te azt gondoltad, hogy ez a legtermészetesebb dolog a világon... majd eltelik néhány év és az együttes világhírű lett, de álmaimban mindig ottmaradt az a pillanat, amikor csak nekem énekelt... körülöttem emberek, élvezték a tenger gyümölcseit, provence legjobb borait ... egy rossz hangulat, máris a poharad tartalma szállt szerelmedre, aki félre hajolt és a mögötte lévő asztalnál egy kisfiú szemében landolt... másnapra már búvár szemüvegben ült le asztalához... igazából én nem vettem észre... de egy felemelt kar jelezte a szülők részséről, hogy felkészültek, nyugodtan locsolhatom a  provence vörösborát... nagy nevetés, jó hangulat ... én odarohantam és átöleltem a kisfiút, hálásan megköszöntem azt, hogy elfogadták az őrültségemet, amivel nem akartam bajt okozni... de igy alakult...
... ez egy pillanat volt a sok közül, ami 1984-1992 között történt Saint Tropez-ban...
 ... 2019. januárjában egyik napról a másikra eltűntek a tengerpart mellett lévő éttermek, néhány kivételével... Club 55 / Tahiti 
olyan volt, mint egy tornado arrajárt volna, egy éjszaka alatt az összes plage-nak, emlékeimnek szia... de ez egy másik 
történet lesz...

Letölthető / Download / Télécharger photos
Web: barna-ilona.wix.com/biphoto
Közvetlenül az ALAMY BIPHOTONEWS Portfilioban letölthető professzionális 14130 fotó egy kattintással (lassan nyílik!) : https://www.alamy.com/portfolio/ilonabarnabiphotonews
#events #download #photos #portraits#foodanddrink #nature #provence #festivals#festivaldecannes #polocupmonaco #hommeoffice#stayathome #jerestechezmoi #maradjotthon#telecharger #canon #photography #biphotonews#mindenokici #fuckcovid19 #lifestille #stilllife#sainttropez #thisissttropez #lechateaudegrosbois#paris #notredame #jazzpiknikpaloznak#azeletmegytovabb
p.s ... 2020. április 23. (csütörtök) örülök, ha benézel ide, annak még jobban, ha meg is osztod... ezzel beindítod a Facebook beszorított világát is nemcsak nekem... 

2021. március 10., szerda

©SAINT TROPEZ ELDUGOTT ÖSVÉNYEI MINDIG REJTEGETNEK VALAMI MEGLEPETÉST, RÉGI KASTÉLY ELHAGYATOTTAN...


Saint Tropez / Ramatuelle Moorea Plage, France 2021. március 09. 

Moorea Plage/Saint Tropez 2021. március 09. Photo: #ilonabarnabiphotonews
 Adresse : Chemin des Moulins, 83350 Ramatuelle
Contact : 0494971817

p.s... éppen hazafelé tartottam a Moorea Plage-ról a délutáni órákban a tengerparti sétám után... tudod melyik ez, már mondtam neked... a '80-as évek elejétől, minden évben itt nyaraltunk, 1992-ig bezárólag... utána változás volt, de azt majd máskor mondom el neked ... szóval, rendszeresen idejártunk, mintha Le Club 55, Tahiti vagy másik plage nem is lett volna a környéken... Louisnak ebben is igaza volt persze, de akkor nagyon kételkedtem ebben, arra emlékszem... mikor kértem, hogy nézzünk már meg másikat is mindig azt mondta:

- ...Ica, ez a legjobb, itt minden van amitől jól érzi magát az ember ... az igaz, hogy Bernar étterme azóta is utánozhatatlan az ízeivel a mai napig... a bár ma is létezik, de Claudytól és a koktéljaitól egyedülálló volt, Ő volt a Cote d'Azur "koktél királya" abban az időben... mindig mosolygós, már délidőben az alkoholtól ragyogó barna szeme, barátságos, közvetlen stílusa, tagbaszakadt vékony, de erős alkata kirajzoldott ma is előttem... már messziről zengett a hangja, karját a magasba emelte:

- Bonjour Louis, Je suis content de vous revoir ici! ... ez a kedvesség, ahogy üdvözölték a régi vendégeket mostanában elmaradt, divatját múlta... Claudy, úgy általában minden visszatérő vendégének tudta a nevét fejből, de Louist nagyon kedvelte... hatalmas, szeretet öleléssel fogadta mindig, mintha a legjobb barátja lenne... akkor, azt gondoltam mindig így lesz, de mostanában a pandémia miatt ölelésnek is, szia... na, és a backgammon játék, egy nap sem maradhatott ki, így lazult hosszú-hosszú éveken keresztül nyaralásaink alatt a társam, aki a gyermekem apja lett... évekig ott ültem mellette, néztem a korongok tologatását, majd később megtanultam, így szórakoztatóbb volt számomra is... azonosultam a helyi szokásokkal, élveztem a Cote d'Azur símogató napfényét, azúrkék tengerét, szürcsölgettem a Claudy Margarita koktélját...  még nem volt világhíres a Gipsy Kings ott gitároztak, énekeltek a bár előtt... akkor hallottam először zenéjüket, fergeteges hangulatot teremtettek, táncoltunk mezítláb, fürdőruhában a homokban... de jó is volt... miközben gondolatban a múltban barangoltam, a jelenben majdnem eltévedtem itt az ősfák között a mellék uton, ahová letértem... most kivételesen nem bántam, hogy elkalandoztam, mert ezek a többszáz éves eukaliptusz fák, amik hirtelen körülvettek szomorú, de egyben lenyűgöző látványt nyújtottak a lehulló kérgükkel a vastag, fatörzsükkel... nem lehetett látni az utat, betakarták teljesen, mint egy nagy takaró... valahogy nekem érzésben az elmúlást jelentette, pedig csak megújulnak ezzel... 

Eukaliptusz fák - Saint Tropez, France 
Photo © #ilonabarnabiphotonews

...a kanyar után visszafordulok gondoltam elég ennyi ebből, de egy római korra emlékeztető oszlopsor, árkád kíváncsivá tett egy óriási, zárt kertben... 

Saint Tropez, France Kastély XIX. század elején épülhetett kertjében oszlopos árkád
Photo © #ilonabarnabiphotonews

...megálltam, de nem szálltam ki a kocsimból, mert eléggé lakatlannak, lepusztultnak tűnt a mögötte lévő nemesi család életét sugárzó vidéki kastély... éreztem a nagyvilági életet még ennek ellenére is... a stílusa eltért a szokványos provence villáktól, még nem láttam ehhez hasonlót a környéken... talán a XIX. század elején épülhetett... a kertben a hatalmas üvegház rozsdamarta váza üresen tátongott, máladozó kőszobrok, szökőkút szomorú látványt nyújtottak, de nekem titokzatosnak tűnt így is... elképzeltem a kerti mulatságot, földig érő selyem ruhákban táncoló hölgyeket, a fűben heverésző szerelmespárokat, mint Szinyei Merse Pál Majális festményén... talán egy sugallat lehetett a Chateau de la Messsardiere tervezőjének, aki erre sétálhatott és utána megálmodta a hegy csúcsára a luxus hotelt hasonló stílusban vagy az is lehet, hogy épp ebben lakott annak idején ... 

Saint Tropez, France Kastély XIX. század elején épülhetett
Photo © #ilonabarnabiphotonews

Welcome / Dobrodosli / Üdv / Bienvenue
(linkekre feltétlen egy kattintást!)


                                                









                 EGY FALAT PROVENCE
 KARANTÉN IDEJÉN 
(Directly from Saint Tropez)

2016. április 10., vasárnap

©Tu es drogue pour moi ...


... egy jó szivar, egy szép nő és mindehhez egy csésze kávé, konyak helyett, kell ennél több és persze mindez a Cote d'Azur közepén Saint-Tropez-ban a Le Club 55-n? ... 




©Le Club 55 Saint-Tropez « après le déjeuner »







©Le Club 55 Saint-Tropez » Waiting... Je suis en attente pour vous »


... Je suis en t'attente ...







2021. április 21., szerda

©SAINT TROPEZ KARANTÉN IDEJÉN... BB * LA VIE REPREND * FLORIST MARTINAUD *NIKKI BEACH

 Wizzair megint arrébb tolta az utazásomat ...



BB © BIPHART


Saint Tropez, France 2021. április 21. (szerda)
p.s... azt vettem észre, hogy itt azért el lehet adni mindent még ebben az időszakban... izgalommal készülődnek a szezon nyitására... Hogy mikor lesz?... azt persze nem lehet tudni... nagyon sok üzlet üresen áll, de aki leleményes és van egy kis anyagi háttere is ehhez, az bizony szorgalmasan tevékenykedik... zúzza szét a falakat, újra építi az üzletét... ma nagyon sok gyermeket láttam itt a teraszom alatt, örültek a halaknak a vízben... harsogott tőlük a kikötő... Barbarac fagyizója előtt kígyózött a sor... úgy tűnik az élet nem állt meg... La vie reprend...
... ebéd után a kimentem a Le Club 55 plage-ra... végig sétáltam a NIKKI BEACH-ig szépen lassan készülődnek, kezd látványos lenni, a dobozok provence dizájnt kaptak... gondolnád, hogy néhány hét múlva a legdivatosabb hely lesz itt és rengetegen lesznek, legalábbis a remény megvan erre... ezerrel sütött a nap, de levegő mégis hűvösnek tűnt, nem maradtam sokáig... jobb a békesség, ismerem ezt a sunyi jó időnek látszó mégis nyomod az ágyat utána napokig... azért ma is volt aki nem érezte, csak a meleget ebből, megértem volt szépen tartalékja, kofferból elvolt engedve rendesen, az építőmesterek rá is ugrottak ezerrel... balra láthatod a fotón... 


... visszafelé beugrottam vettem ezt, meg azt a Casinoban, alig voltak... ennek örültem... kimentem a stégre és leültem a végére, vártam a naplementét...

 NAPLEMENTE A RÉGI KIKÖTŐBEN...











... Florist Martinaud megint remekelt... nem mertem megkérdezni, hogy kinek köti ezeket a szép hatalmas díszeket... ez most talány maradt, de nem bánom, így azt gondoltam amit én akartam...