BIPHOTONEWS EXCLUSIVE * PHOTOGRAPHY*BIPHArt * ADS * ART DECO SAINT-TROPEZ - BIPHOTO STUDIO BUDAPEST

*Photography since 2006* on the other side of the camera * My creations reflect traces of my photos and imagination, some using artificial intelligence, digital art, acrylic, canvas, paper (mixed media)* @ilonabarnabiphotonews

2019. február 24., vasárnap

©Le Club 55 Golf du Saint Tropez, France "Prince Paysan" ...

Marc Tempier 2019 01 24 Le Club 55 © BIPHOTO -7352.jpg
Un ‘‘Prince paysan’’ à Pampelonne
Un Prince qui s’appelle Patrice…
Tout a commencé en 1947, lorsque le père de Patrice, Bernard de Colmont (qui fut le premier occidental à entrer en contact avec les Indiens Lacandons en 1935), tourne pour gagner un peu d’argent un documentaire à bord d'un pailebot, un bateau à voiles majorquin qui assure le transport des oranges en Méditerranée. Une tempête de mistral les oblige à s'abriter dans la baie de Pampelonne. Bernard, subjugué par la beauté des lieux qui étaient à l’époque déserts, décide de revenir avec sa famille. « N’est-ce pas l’endroit idéal ? » rétorque-t-il à ses amis du Club des Explorateurs avec lesquels il a voyagé dans le monde entier. « Il n’y a pas d'araignées, ni de serpents mortels, pas de requins, ni de lions, pas de choléra, ni de tsunami… et nous sommes en France, dans une démocratie. »
Après avoir occupé pendant plusieurs étés une cabane de pêcheurs sur la plage de Bonne terrasse, Bernard acquiert en 1954 deux parcelles de terrain au bord de la mer, à l'endroit où les Américains, sous les ordres du Général Patch, ont débarqué pour libérer la France. Sa femme Geneviève est furieuse que son mari qui vient de toucher un petit héritage ait acheté un bout de plage remplie de mines laissées par la guerre alors qu’elle n'a pas de quoi offrir des pull-overs neufs à leurs garçons de 9 et 6 ans. Mais elle aime son homme alors ils quittent la Haute-Savoie et s'installent pour vivre à l'année, sans eau, ni électricité, sous des tentes puis dans trois cabanes en bois que Bernard a dessinées et fabriquées.
Dès les beaux jours, leurs amis pique-niquent au cabanon. Très rapidement, Geneviève leur propose de s'occuper de l'intendance des repas. Un jour de 1955, l'équipe du film de Et Dieu créa la femme avec Brigitte Bardot, qui n'a que 19 ans et n'est pas encore une star, croit qu'il s'agit d'un restaurant et demande à Geneviève si elle peut leur faire la cuisine pour 80 personnes pendant trois semaines. Ça l'amuse terriblement. Elle aime les gens de talent. Pour preuve, elle voulait devenir aviateur, ses parents n'étant pas d'accord, elle a réussi à travailler (bénévolement) pour l'explorateur Paul-Émil Victor. Alors elle dit oui. Elle n’a pas de four. Peu importe ! Elle fait cuire les rôtis dans celui du boulanger. Le film terminé, Roger Vadim et Brigitte Bardot reviennent. Et amènent leurs amis, réalisateurs, comédiens, écrivains, chanteurs, tous les artistes de Saint-Germain-des-Près qui font le Saint-Tropez des années 50. Geneviève, issue de la grande bourgeoisie, n'est pas impressionnée. Le soir, on dîne, on danse, c’est l’endroit où il faut être. Mais tout le monde n’est pas admis. Le Club 55 est né.

Pendant ce temps, Patrice grandit dans, sur et sous l'eau. À 8 ans, son père l'émancipe de façon complice : « À ton âge, les jeunes Lacandons apprennent à fabriquer leurs arcs et flèches pour se nourrir, et bien, toi, fais la même chose ! » Après l'école, Patrice part sur sa ‘’cocotte’’, un joli petit dériveur en acajou, pêcher et dormir derrière le Cap Camarat à l'endroit où la Méditerranée est si transparente que les pierres sont bleues. À 15 ans, Patrice a un rêve : devenir paysan et châtelain comme son cousin de Montfort l'Amaury chez qui il travaille plutôt que d’aller au lycée, aucun prof ne pouvant remplacer le savoir de son père qui lui a tout appris. Mais la vie en décide autrement. Lorsque Patrice a 17 ans, Bernard est obligé de vendre l’une des deux parcelles afin de réunir l’argent nécessaire pour construire une « vraie » maison en pierres (qui est aujourd’hui celle sur laquelle le restaurant est adossé). Patrice ne supporte pas cette injustice. Pourquoi son père si brillant n’a pas les moyens de garder le lieu qu’il aime le plus au monde ? Le lieu de son enfance. Furieux, il part travailler à Paris. Mais sa mère atteinte d’un cancer décède. Son père ne s’en remet pas et tombe à son tour malade. Avant de mourir, il demande à Patrice de revenir. Patrice qui a alors 24 ans reprend avec son frère aîné Jean et leur jeune sœur Véronique le Club 55. Et l’ouvre sur l’extérieur, en restant cependant vigilant sur l’attitude des nouveaux clients qui, pour seul parrainage, doivent émettre des ondes positives.
Patrice tient à garder le même état d’esprit que celui de ses parents, c’est à dire un endroit où rien ne bouge, ni ne change, avec la même cuisine authentique et familiale que celle de sa mère, ratatouille, poisson sauvage grillé amené chaque matin par les pêcheurs locaux, feuilleté de Ramatuelle, et les mêmes principes : Ici le client n’est pas le roi… parce qu’il est un ami et La cuisine n’est pas faite par le patron.
Très rapidement, le Club devient cosmopolite et le rendez-vous incontournable des rois, des stars, des hommes d’affaires ou d’état en vacances, mais aussi celui de Jack Nicholson, de Sylvester Stallone, de Bono, de Naomi Campbell, de Kate Moss, de Sarah Ferguson pour ne citer qu’eux. Ici, pas de paparazzi, juste un photographe attitré qui ne vend ses photos qu’aux personnes qui sont représentées dessus ! Patrice crée le mouvement et donne le rythme aux employés, impressionnante chorégraphie rodée au centimètre près afin que personne n’attende et soit accueilli comme à la maison. C’est ce qui fait le charme du Club 55 dont Patrice devient le Prince. Un Prince humble qui n’oublie jamais de s’amuser : un jour où deux clients font un pari sur la rapidité de leurs voiliers respectifs, d’emblée, il créée (en se souvenant de sa petite ‘’cocotte’’) une course de bateaux, la Nioulargue, qui devient le must des courses de Méditerranée.
Quelques années plus tard, Jean vend ses parts à Patrice. Le restaurant s’organise désormais pour servir des quantités importantes de repas. Quand on demande à Patrice combien exactement ? Il répond en souriant qu’ils sont dans du déraisonnable ! (en réalité jusqu’à 1000 couverts par jour). Puis il ajoute (toujours en souriant) que l’idée n’est pas de battre des records, mais de faire plaisir à toutes les personnes qui veulent venir déjeuner, comme avec les amis qui s’invitent et qui sont plus nombreux que prévus, on ne les met pas dehors, on se débrouille pour les asseoir et les nourrir.
Patrice construit le mobilier avec le bois flotté qui s’est échoué sur le sable après les tempêtes, et pose sur les tables des nappes bleues, douces et délavées (dans la même tonalité que les matelas de la plage), ainsi que des fleurs... bleues… Plus les matières ont vécu, plus elles respirent la joie de son passé de jeune garçon libre et aventurier, et lui indiquent qu’il peut continuer de vivre dans la mémoire de ses parents sans angoisse puisque rien n’a changé, plus Patrice est heureux. Il investit toute son énergie, sa passion, son temps, son amour des relations humaines dans le Club 55 qui ne désemplit pas et reste ouvert pratiquement toute l’année, excepté les trois mois d’hiver. Patrice est chaque jour au cœur de son restaurant. Il est le cœur du Club 55. Tout le monde l’appelle Patrice. L’embrasse. Lui serre la main. Lui explique sa dernière folie ou son divorce. Il se souvient de tout et de tous. Rit. Blague. Tout en apportant une chaise supplémentaire ou en servant une tarte tropézienne, il raconte le Bailli Pierre-André de Suffren ou le voyage de noces de ses parents qui ont descendu en kayak les fleuves Green et Colorado. Il lui arrive aussi parfois de se mettre en colère et de demander aux indélicats de ne plus revenir. L’endroit devient mythique. On se sent unique et privilégié d’avoir la possibilité d’y déjeuner. C’est le seul lieu où les clients remercient le patron en partant.
En 1993, il rachète enfin la parcelle que son père avait été obligé de vendre et construit des cabanons pour que les habitués puissent séjourner de façon aussi authentique que lui, enfant, sur la plage. Mais malgré sa réussite, son rêve de devenir paysan et châtelain ne le quitte pas. Il cherche des fermes dont les terres seraient intactes et n’auraient jamais été en contact avec les pesticides et autres semences modifiées. Partout. Même dans les Alpes de Haute-Provence. Jusqu’au jour où une famille lui propose d’acheter la ferme de leurs parents. Ils ne veulent la céder qu’à Patrice de Colmont car ils savent qu’avec lui, celle-ci ne changera jamais. Son rêve se réalise enfin, et dans des conditions idéales, la ferme des Bouis est située à cinq minutes du Club 55. Il y installe des chevaux, des ânes, des chèvres, des chiens, qui peuvent contempler, au travers des oliviers, le Cap Camarat, derrière lequel se trouvent ses belles pierres bleues. 
Aux Bouis, il fait pousser un potager, des olives et des vignes, fait son vin, son huile et livre le Club 55 en légumes et fruits évidemment bios, toujours dans sa philosophie de faire le plus naturel possible : « Moins on s’éloigne de la nature, moins on se trompe » ajoute-t-il en vous fixant de ses yeux verts. Sur le menu, le label « bio » n’est mentionné nulle part. Patrice préfère éduquer en laissant à chacun la possibilité de découvrir et d’apprécier. En effet, ses clients séduits par la qualité et le goût délicieux des tomates ou radis de ses fameux paniers de crudités l’assaillent de questions. Alors, Patrice prend une grande inspiration et raconte le maraîchage sans tracteur mais avec des chevaux de trait, les semences reproductibles, le danger des OGM, la permaculture, le composte, la résilience écologique, l’influence de la lune, la vision holistique. Il est intarissable. L’idée de Patrice est de sensibiliser ses clients dont certains, financiers ou industriels, sont de gros acteurs de la pollution mondiale, à l’agroécologie, non pas en leur donnant des leçons, mais en leur montrant, par son expérience réussie de prince paysan, que c’est possible. Qu’il est possible de respecter la terre et l’humain. Alors pourquoi ne pas essayer ? les questionnent en silence ses yeux verts.
Son éthique prend une dimension supplémentaire lorsqu’il découvre en 2011 les mots du paysan écrivain philosophe Pierre Rabhi (dont l'actrice Marion Cotillard est proche) : « Il est temps de prendre conscience de notre inconscience. » « Enfin un homme qui pense comme moi ! » se dit Patrice en dévorant ses livres. Désireux de le rencontrer, il l’invite à donner une conférence sur sa plage. Trois jours plus tard, Pierre téléphone à Patrice : « Je sais que je suis capable de résoudre le problème de la faim dans le monde par l’agroécologie. J’aimerais que tu me rejoignes. » Depuis les deux hommes ont créé ensemble le Fonds de dotation Pierre Rabhi. Et Patrice lui a fait rencontrer Léonardo di Caprio. « Pierre, que pensez-vous des OGM ? » lui demande celui-ci. « C’est un crime contre l’humanité », répond Rabhi. « Alors nous allons pouvoir continuer notre conversation parce que je suis d’accord avec vous. » Une réflexion est en cours afin que les trois hommes avancent ensemble.
En mai 2015, Patrice, qui a toujours prôné la patience et la sagesse, concrétise le plus excitant de ses rêves : l’acquisition du Château de la Mole (où a grandi Antoine de Saint-Exupéry, l’auteur du Petit Prince). Le projet est de faire de cette demeure historique une « villa Médicis » de l’agroécologie pour susciter des rencontres et transmettre le savoir, ainsi qu’une ferme comme au XVIIIème siècle, dans le souci d’un écosystème naturel qui préserve la biodiversité.
Au printemps 2016, le potager est planté et trois mois plus tard, les premiers légumes fournissent le Club 55. En quantité impressionnante ! Qui a dit que le bio n’était pas rentable ? 
À 20 heures, chaque soir, après douze heures de travail intenses, Patrice ferme la porte de son Club 55 et charge dans le coffre de sa voiture une centaine de kilos d’épluchures qu’il apporte à sa ferme des Bouis pour nourrir ses ânes et ses chevaux. Si on lui demande pourquoi il le fait lui-même, il répond d’un air étonné, presque amusé : « À quoi bon avoir des animaux si ce n’est pas pour les nourrir ? » Puis serein, il rejoint à une quinzaine de kilomètres de là son château de la Mole où l’attend le petit Prince qui, la nuit, l’inspire et lui souffle de…, mais chut, c’est leur secret. Un secret de Princes naturalistes prêts à toutes les bontés pour sauver l’humanité. (forrás)

©Sunflower ... napraforgó ... BIPH'Art 2019

Sunflower ... Napraforgó ... BIPH'Art 2019
p.s. ... napraforgó virága mindig a nap felé forditja a "fejét" ... és milyen igaza van... csak így lehet boldogan élni, mindig a fény felé haladva...

2019. február 19., kedd

©R.I.P KARL LAGERFELD (1933-2019)

Legendary Designer Karl Lagerfeld Has Died

R.I.P
THE BIGGEST FASHION DESIGNER 
(1933. szeptember 10., Hamburg - 2019. február 19. Párizs)

A VILÁG LEGNAGYOBB DIVATTERVEZŐJE ISTEN VELED, NYUGODJ BÉKÉBEN!

p.s. ... Saint Tropezban a 35 év alatt, nem találkoztam Karl Lagerfeld #divatdiktátoron, a világ legnagyobb divattervezőjén kívül hasonló híres emberrel, aki olyan méltósággal, szerényen "viselte" zsenialitását, mint Ő! Mély fájdalom, hogy már emlék a találkozás, de nagyon kedves emlék marad! Köszönöm, a fotókat örök hálám, tiszteletem! [BIPHOTONEWS]
KARL LAGERFELD
(1933. szeptember 10., Hamburg - 2019. február 19. Párizs)
R.I.P
THE BIGGEST FASHION DESIGNER
Karl Lagerfeld s'est éteint. Le Kaiser de la mode, directeur artistique des maisons Fendi (depuis 1965) et Chanel (depuis 1983), a rendu son dernier souffle ce mardi à hôpital américain de Paris, à Neuilly-sur-Seine. (FORRÁS!)
R.I.P



Virginie Viard veszi át a kreatív alkotás területét, de egy biztos, hogy Karl Lagerfeld pótolhatatlan! (forrás)


... végakarat ...

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2019. február 16., szombat

©7. Halfesztivál Budapest ... Saint-Tropez vintage hangulat 2019.02.16.

7. Halfesztivál Budapest, 2019 február 16 © BIPHOTONEWS
Váraljai Gábor méhész kiváló gyógynövényes mézeit kipróbáltam és a konyhámban landolt, megvásároltam.  A torkom azóta most tényleg sokkal jobb,  az első kiskanál után ugy éreztem végre kapok rendesen levegőt és már alig köhögök, pedig előtte... jajjj ... a kóstolót feltétlen!
7. Halfesztivál Budapest, 2019 február 16 © BIPHOTONEWS
Váraljai Gábor méhész gyógynövények mézeit ki ne hagyd kipróbáltam kiváló és
gyógyító hatásu volt

főleg a propoliszos, egy kiskanál és máris ugy érzed meggyógyultál a náthából... 
Hetedik alkalommal rendezték meg ezt a különleges, francia vintage hangulatú  fesztivált, ahol a halak mellett helyet kapott még a méz őstermelőktől, a fára nyomtatott digitális technika művészete, a sült ropogós halak, haltepertő, halászlé, sütik, rétesek, a boldogi  fánkok, felett több időt töltöttem, mert mégiscsak Jászfényszaru közeléből származik, ahol születtem. Néztem és hallgattam a történetét, majd a BIPHOTONEWS riportban hamarosan... kürtöskalácsok, gyógyító parajdi só,  pecsétviaszgomba, ami ritkaság még sosem láttam immunerősitó, daganatos betegségekre ajánlott, halas lepények sütését sajnos nem tudtam kivárni, de hamarosan... és még sorolhatnám a végelenségig. Jó idő volt, leszámítva, hogy február 16-t írunk. A napsütésben padokon a szabadtérben mindenki örömmel falatozgatott... a háttérben nem messze vidámpark gyerekeknek... hát kész öröm volt látni a Dunapart megtelt emberekkel... mindenki kedves volt és készséges, nagyon köszönöm, egy élmény volt! Sok sikert!
7. Halfesztivál Budapest, 2019 február 16 © BIPHOTONEWS
Pecsétviaszgomba immunrendszer erősitésére, daganatos betegségekre ajánlott...
Szondi Kristóf gombatermesztő


7. Halfesztivál Budapest, Angéla Sajtműhelyéből a sajtok emlékeztettek a Saint-Tropezi piac sajtjaira © BIPHOTONEWS 

7. Halfesztivál Budapest, 2019 február 16 © BIPHOTONEWS
Kürtöskalács több helyen, nézz körül utána válaszd ki, hogy melyik a szimpatikusabb
illatuk fenséges volt...

7. Halfesztivál Budapest, 2019 február 16 © BIPHOTONEWS
Kürtöskalács több helyen, nézz körül utána válaszd ki, hogy hol eszel...

7. Halfesztivál Budapest, 2019 február 16 © BIPHOTONEWS
Óriási kondérban, üstben a halászlé kifogyhatatlan...

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7. Halfesztivál Budapest, 2019. február 16 © BIPHOTONEWS
Óriási üstben a halászló fortyogott, úgy tűnt kifogyhatatlan...


7. Halfesztivál Budapest, 2019 február 16 © BIPHOTONEWS
Igazi halászlé, vörösborok üstökökben gőzölögve várják a vendégeket... 




7. Halfesztivál Budapest, 2019 február 16 © BIPHOTONEWS
Parajdi só az élet sója

7. Halfesztivál Budapest, 2019 február 16 © BIPHOTONEWS
Váraljai Gábor méhész gyógynövények mézeit ki ne hagyd kipróbáltam kiváló és gyógyító hatásu volt
főleg a propoliszos, egy kiskanál és máris ugy érzed meggyógyultál a náthából... 


2019. február 7., csütörtök

©TÓTH JÓZSEF ALIAS FÜLES A RETRO KORSZAK LEGKREATÍVABB FOTÓMŰVÉSZÉNEK KIÁLLITÁSA 2019...


... a #retrodivatberkekben mi, csak így hívjuk...

"fényképezés közben legfőképpen a fényképezőgép zavar"
TÓTH JÓZSEF FÜLES PHOTOGRAPHER 2019
DIMENSIONS SERIES by BIPH'ART
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Életmű kiállítás megnyitó
2019. Február 8-án Pénteken 18 h

 
RETRO korszak adottságait felülmúlta,  kreativitásával,  időtálló alkotásaival! Főleg azzal, hogy nem csupán "EGY" tehetséges fotóművész, hanem egy nagyon művelt, intelligens, sajátságos, nagy humorú, jó ember! A fotográfusok között a kis "Einstein"! Ez nem túlzás, aki személyesen is ismeri tudja nagyon jól a társaságában lenni egy élmény, felüdülés! Vele dolgozni, mint fotómodell kiváltságos helyzet volt  a RETRO korban!
Hatalmas gratuláció ehhez az egyedi gondolatához, hogy a #füleslencsevégre kapott RETRO korszakban sikeres, sztár, napjainkra legendás fotómodelleket bemutatja egy kiállítás keretén belül. 
Visszaemlékezés egy kiállítás keretén belül, NAPJAINKBAN ELSŐKÉNT (remélve, hogy a többi fotós is követi) az akkor közismert, legnagyobb divatfotósok közül! A Klebelsberg Kultúrkúria méltó helyet adott ennek a nagy eseménynek, ahová meghívást kaptak a magyar RETRO divatvilágban  #sikeresmodellek #manökenek #IKONOK is!
Díszvendég: VÁMOS MAGDA a Magyar Divat Szövetség Elnöke
MEGTISZTELŐ és NAGY KÖSZÖNET! 
[Barna Inci Ilona modell #ilonabarnabiphotonews]

Az eseményről fotók elérhetőek / letölthetőek a BIPHOTONEWS Galériájában itt!

Tóth József FÜLES fotóművész egyéni kiállitása a "LEGENDÁS FOTÓMODELLEK A XX. SZAZADBÓL"
Helyszín: Klebelsberg Kultúrkúria Budapest, Magyarország
1028. Budapest, Templom utca 2-10.
2019. február 08. (18 h)

BIPHOTO STUDIO
LEGENDÁS FOTÓMODELLEK A XX. SZÁZADBÓL 
kiállitás megnyitó
2019. Február 8-án Pénteken 18 h
Klebelsberg Kultúrkúria



2019. február 07.

Médiaklikk

Tóth József FÜLES fotóművész egyéni kiállitása a "LEGENDÁS FOTÓMODELLEK A XX. SZAZADBÓL"
Helyszín: Klebelsberg Kultúrkúria Budapest, Magyarország
1028. Budapest, Templom utca 2-10.
2019. február 08. (18 h)
(Tóth József FÜLES, Klebelsberg Kultúrkúria munkatársa, házi asszonya, Vámos Magda a Magyar Divatszövetség Elnöke, Nagy Edit "Coco" modell
Fotó © Barna Ilona BIPHOTONEWS
Download Photos
Teltház volt a Klebelsberg Kultúrkuria nagy színháztermében. Tóth József FÜLES fotóművész több órán keresztül sajátságos humorával névsor szerint mutatta be a XX. század Legendás Fotómodelljeiről készült "ÉLETMŰ ALKOTÁSAIT".  
Minden egyes fotómodellt, aki jelen volt felkért arra, hogy nyilatkozzon életéről, tevékenységéről. Jó volt hallani a felmorajlásokat, elismeréseket a közönség soraiból. 
A nagyszerű este, visszaemlékezés mindenkiben mély nyomott hagyott, egy élmény volt! 

Köszönjük szépen!
[#ilonabarnabiphotonews]


CSÉB
(plakát) 1984

Fotó: FÜLES Tóth József fotóművész
Tóth József FÜLES fotóművész egyéni kiállitása a 
"LEGENDÁS FOTÓMODELLEK A XX. SZAZADBÓL"
Helyszín: Klebelsberg Kultúrkúria Budapest, Magyarország
1028. Budapest, Templom utca 2-10.
2019. február 08. (18 h)
A képen Barna Ilona/Inci exmodell, manöken, fotográfus a CSÉB (1984) plakátja előtt, piros sapka gombokkal Vámos Magda  Magyar Divatszövetség Elnöke napjainkban, a Retro korszakban a Magyar Divat Intézet (MDI) divattervezőjének sajátkezű, eredeti alkotása. 



Tóth József FÜLES fotóművész egyéni kiállitása a "LEGENDÁS FOTÓMODELLEK A XX. SZAZADBÓL"
Helyszín: Klebelsberg Kultúrkúria Budapest, Magyarország
1028. Budapest, Templom utca 2-10.
2019. február 08. (18 h)

HUSZKA: LILI BÁRÓNŐ (lemezborító 1984)
Fotó: Tóth József FÜLES fotóművész

Huszka, Lili Bárónő Lemezborító 1984.
Fotó: FÜLES Tóth József fotóművész 
Hármas, kép a képben fotó: Bakos István fotóművész alkotása 2019. 02. 08. 
Fotón Barna Ilona (Inci) exmodell, fotográfus fiával de Hegyessy Viktor László Film Industry, mögöttök a legendás 1984-ben készített fotó a Lili Bárónő / Huszka Operett  lemezborító
Hármas Fotó: Bakos István fotóművész  alkotása 2019. 02. 08.


p.s. Kép a képben sorozatomból is lehetne akár ... vagy a tekintet követi a mozgásod, bárhová állsz jobbra - balra - középre, mindig rád néz... Vámos Magdi és Edit Nagy​ meg is jegyezték, mikor a végén még egyszer megnéztük hárman, hogy ez olyan, mint a "Mona Lisa Leonardo da Vinci 1503-1519 között készült leghíresebb festménye, remekműve, ami jelenleg a párizsi Louvre-ban van" --- és tényleg, addig ez  fel sem tünt ... Bravo Füles! Köszönöm! ... a háttérben Tóth József Füles fotóművész alkotása  - Lemezborító - Huszka Lili Bárónő - 1984- fantasztikus este volt és visszaemlékezés a magyar RETRO divat sikeres fotómodelljeiről, akik mára legendássá váltak!... Nagy köszönet!


BIPHOTONEWS 

2019. február 2., szombat

©LE MEILLEUR..! LA GRANGE DES AGAPES THIERRY BAROT •LGDA• COGOLIN, FRANCE

"ICI ON MANGE
ON BOIT
ON SYMPATHISE"

CUISINE GOURMANDE FRANÇAISE
LGDA LA GRANGE DES AGAPES • Thierry BAROT • 
83310 Cogolin, Golf du Saint Tropez France
7, rue du 11 Novembre
Telefon/Fax. : +33494546097
Janvier 2019

CUISINE GOURMANDE FRANÇAISE

LGDA LA GRANGE DES AGAPES • Thierry BAROT • 

83310 Cogolin, Golf du Saint Tropez France
7, rue du 11 Novembre
Telefon/Fax. : +33494546097

Janvier 2019




p.s. ... Merci bien Cecile Saint Tropez  et meilleur chef Thierry Barot de la Cote d'Azur! BRAVO! – itt: Cogolin


magyarul 
p.s. 
... Gourmet konyha BIPHOTONEWS ajánlásával! A séf Thierry Barot LGDA La Grange des Agapes Cogolin, France
... a menü, ami három fogásból áll: előétel, főétel, dessert ... 23 € egy pohár bor a legjobb minőség: 5 € Kávé: 3 €, a kancsó víz ingyen! 
Ez mind hétköznap délben a 'Plat de jour' kérésével! Előtte ajánlatos a hely foglalalása: 
+ 33 4 94 54 60 97 (mindig telt ház van dél tájban!)
... ha mégis valaki arra utazna, ne hagyja ki egy igazi francia kulináris élmény!